Cette grille a été élaborée par le CNT ( Conseil National du Travail) en Avril 2022 mais n’ a aucune valeur juridique car seul un décret ou un arrêté d’ application peut valider cette grille.
Comme disait @Mi_art plus haut, l’arrêté n’est pas encore sorti. Donc il ne faut pas prendre en compte les valeurs d’ indice et les SME par catégorie professionnelle de cette grille.
J’ai une question complémentaire par rapport au cas susmentionné, donc si je comprends bien, le SME est contraignant, par contre le salaire minima d’ancienneté n’est pas contraignant mais dépend plutôt de la politique salariale de chaque société ?
En fait ce qui est contraignant concerne les salaires inférieurs à 250 000 Ar payés par l’ entreprise suivant la nouvelle grille de salaires minimum d’embauche par catégorie professionnelle. On doit alors prendre en compte la nouvelle méthode de calcul pour ces salaires (cf annexe 2 de l’arrêté).
Oui c’est un peu compliqué !
Il faut bien lire cet arrêté pour comprendre la méthode de calcul pour la compensation de salaire pris en charge par l’état. Les points les plus importants se trouvent dans l’article 3 et 4 et l’annexe 2.
Je suis un peu perdu, j’ai besoin de votre aide.
A propos Annexe 2, quelqu’un pourrait établir un modèle de tableau en Excel sur le nouveau système de calcul SVP.
Bonjour @Mi_art ,
Désolé de revenir encore la dessus. Je crois donc comprendre que de M1 à OP1B, le SME est donc de 250 000ar sans exception ? ou faut il reconstituer la grille avec les nouveaux indices pour un sme de 250 000Ar ?
Dans la société où je travaille, le concept de 46 heures de travail par semaine et l’application des taux d’équivalence restent incompris par les employés.
Pourriez-vous m’aider à trouver un argument percutant pour clarifier ce sujet ? Il est devenu un sujet de débat constant.