Bonjour,
Voici le cas :
Si un nouvel associé, Z, investit 25 000 000 Ariary dans une SARL dont le capital social est actuellement de 1 000 000 Ariary.
X, l’associé majoritaire à 90 %, devra-t-il ajouter des apports pour maintenir sa majorité.
Tandis que Y subira-t-il une dilution s’il n’ajoute rien ?
Est-il conseillé de passer de la forme juridique SARL à SA dans ce contexte ?
Merci.
Bonjour,
Dans le contexte de la SARL à Madagascar, si un nouvel associé, Z, investit 25 000 000 Ariary dans une SARL dont le capital social est actuellement de 1 000 000 Ariary, les associés X et Y doivent répondre à quelques questions pour déterminer les effets de cette augmentation de capital.
En tant que l’associé majoritaire avec 90% du capital social, X devra ajouter des apports pour maintenir sa majorité. La répartition actuelle du capital social entre X (90%) et Y (10%) ne changera pas, mais les nouveaux apports de Z devraient être répartis en fonction des parts sociales actuelles des associés.
Si Y n’ajoute rien, il subira une dilution de sa participation dans la SARL. La dilution du capital social signifie que les parts sociales des associés sont diluées lorsqu’un nouvel associé investit des fonds supplémentaires. Dans ce cas, le pourcentage de Y dans le capital social diminuera, et sa part de décision dans la société sera réduite proportionnellement.
En fonction des circonstances et des objectifs de la SARL, il est possible de passer de la forme juridique SARL à SA dans ce contexte. La SARL est une forme juridique adaptée aux petites et moyennes entreprises, tandis que la SA est une forme juridique plus adaptée aux entreprises plus grandes et plus complexes. Le choix de la forme juridique dépend des besoins et des objectifs de la société.